Petit test de résistance à la traction d’un tenon mortaise. (ceci n’est pas une preuve scientifique et ne peut être, en aucun cas, être utilisé pour dimensionner un assemblage tenon mortaise qui je le rappelle est considéré comme ne pouvant reprendre aucun effort de traction dans les calculs de structure bois)
La vidéo n’est pas de qualité, mais je réaliserai un autre test, mais jusqu’à la rupture.
Au bout de 3 jours en tension, il n’y avait aucune rupture (ce qui est dérisoire comme période d’essaie pour un tenon), nous avons également rouler avec la charge entrainant des sollicitation de balançoire (donc des efforts de “moments”) important sur le tenon.
Lors du démontage de celui ci le tenon avait fendu mais était bloqué par les joue de la mortaise.
C’est d’ailleurs une technique d’assemblage utilisé dans les escalier , la mortaise était taillé en queue d’aronde, un coin était placé dans le fond de la mortaise et lorsque le tenon était inséré il fendait et l’assemblage était indémontable.
Sacha Nicolini nous à fait savoir que : “Les japonais appellent ça le « tenon du diable » parce qu’indémontable”
j’ai également trouver sur le livre “ assemblage du bois l’Europe et le Japon face à face” de Wolfram Graugner éditions Vial qu’il l’appellent tenon à queue de renard”
Pour compléter un lien très intéressant :
http://combiencaporte.blogspot.fr/2012/05/les-chevilles-et-la-traction-dans-les.html
Également sur un autre registre :
http://www.anco.pro/blog/charpente-en-bois-9-techniques
Bonjour Eddy,
merci pour le lien, c’est sympa !
Adrien,
un ingénieur qui adore aussi travailler le bois 😉